Elle avait 20 ans quand elle a découvert que Bernard Dimey était son père. Richard Bohringer intervient dans le prologue en disant « Lorsque mon cœur sera ». Dominique Dimey a écrit un spectacle bouleversant où elle dit les poèmes et chante les textes d’un grand créateur qui a écrit en vers, et parfois contre tous.

— Le Figaro.

On aime beaucoup. L’histoire est d’autant plus jolie qu’elle est contée par Dominique Dimey en personne.

— Télérama TT.

Bernard Dimey ressuscité en chansons par sa fille. Dominique Dimey fait revivre son père dans un spectacle musical émouvant et plein de tendresse.

— Le Parisien.

Une silhouette d’adolescente, une belle et fraiche sincérité, une jolie voix. Par son entremise le poète aux textes poignants et au cœur grand comme ça vient nous donner le bonjour, et c’est bien !

— Le Canard Enchaîné.

Un spectacle d’une rare intensité et d’une grande sensibilité.

— Politique Magazine.

Une Dominique Dimey vibrante de tendresse. C’est si beau quand elle chante, que de là-haut Bernard, accoudé au bistrot d’Allain Leprest, doit applaudir les larmes aux yeux.

— Radio Libertaire.

Elle est poignante de sincérité. Allez la voir !

— France Bleu.

Un spectacle absolument bouleversant.

— La Provence.

Dominique Dimey rend un hommage posthume vibrant et pudique à celui dont elle a illuminé la fin de vie.

— Vaucluse Matin.

Dominique Dimey fait revivre son père, un peu oublié, dans un spectacle envoûtant, entre récital et théâtre. Au croisement de la chanson et du théâtre, le spectacle renvoie également à la fin d’une époque, celle de l’âge d’or des cabarets parisiens, où se produisaient Brassens, Brel, Barbara, Reggiani, Gréco…  La mise en scène de Bruno Laurent est dynamique et poétique, dans le décor discret et élégant trône une affiche, puis un grand portrait peint de Dimey sur fond de pavés parisiens. Dominique Dimey est émouvante dans cette confession intime qu’elle offre comme un cadeau.

— France Info.