L'avantage, si vous êtes déjà debout, c'est que vous serez en position pour faire une ovation qu'ils méritent à deux acteurs exceptionnels. Par leur présence, Ay Carmela !, pièce forte, drôle et profonde, devient un des moments qui comptent dans la vie d'un spectateur.

— Charlie Hebdo.

Jean-Marie Galey atteint des sommets de pathétique dans cette composition. « … » C’est peu dire que Teresa Ovidio incarne le personnage : elle brûle de sensualité, ses yeux étincellent. C’est une tragédienne incandescente, jeune et belle, ruisselante de refus, d’espoir inassouvi, naïve fille du peuple sans culture mais indomptable. « … » C’est une pièce simple et magnifique qu’a écrite le catalan José Sanchis Sinisterra, rien d’étonnant qu’elle n’ait cessé de triompher sur toutes les scènes.

— Bernard Thomas, Le Canard Enchaîné.

Une comédie grinçante qui empoigne l’Histoire avec un rire féroce et imparable.

— Gilles Costaz, Les Echos.

Deux acteurs exceptionnels dans un des chefs-d’œuvre du théâtre contemporain.

— Pariscope.

Le public fait un triomphe au spectacle. Face à Jean-Marie Galey, la pétillante et sensuelle Teresa Ovidio a le charme et l’abattage d’une Victoria Abril

— Armelle Héliot, Le Quotidien du Médecin.

Un chef-d’œuvre du théâtre espagnol et deux acteurs étourdissants. Magnifique !

— La Vie.

Grâce à Teresa Ovidio et à son compère Jean-Marie Galey, Carmela devient immédiate, forte et attendrissante.

— Impact Médecin.