Cette pièce est une fable vivante douce-amère, contemporaine des trentenaires et quadras d’aujourd’hui.

— Le Petit Journal / Aveyron.

Yanik Vabre signe un texte drôle et vivant, à l’image de ses personnages qu’il dépeint avec beaucoup de tendresse et d’humanité dans leurs moments d’abandons, de panache, comme dans leurs petites lâchetés. Des personnages à la croisée des chemins, et qui regardent un peu trop en arrière pour construire sérieusement un avenir, sans parler d’un présent.

Les bonnes répliques fusent et les rires dans la salle ne se font pas prier, même si l’émotion n’est jamais bien loin dans une narration à mi-chemin entre "Friends" et "Quand Harry rencontre Sally", de l’aveu de l’auteur lui-même.

Une tranche de vie qui parlera certes aux trentenaires et aux quadras, mais également à tous ceux qui naviguent à vue dans les méandres des injonctions contradictoires de notre société contemporaine.

— Céline B.B, Froggys delight.

Pics d’humour alternent avec moments d’émotion pour nous rappeler de ne pas passer à côté de notre vie !

— Visiomag.

Le tout est mouliné avec humour et sans vulgarité aucune. En bref, ceci est une comédie réussie !

— Théâtred'elle.

Une tranche de vie dynamique & désopilante ! (...) C’est avec un certain brio que la couardise masculine, le délitement des relations, la recherche de plaisir éphémères, l’espoir, l’instinct de protection, la confusion des sentiments, l’éloignement et l’amour se mêlent. Une bande-originale grisante qui vous reste en tête vient souligner la mise en scène soignée d’Eric Le Roch.

L’attachement aux personnages si humains et l’écho que porte leurs anecdotes sur toute une génération éveille en nous le désir d’une fin heureuse. Le sujet est porté avec un souffle novateur loin de la facilité et des clichés. Géraldine Adams est intense, sensible et passionnée. Aussi juste que Yanik Vabre en ours fragile et attendrissant.

Vous cherchez un moment d’évasion ? Vous avez trouvé ! Personnellement, je cours chercher mon billet pour Avignon…

— Jean-Philippe, Unitedstatesofparis.

Intelligemment écrite, (...) cette histoire est très justement portée par ses 2 interprètes.

— Hélène Chevrier, Théâtral Magazine.