Archivé: Danser Baudelaire

Poésie dansée

Adapté pour le théâtre par Bruno Niver
Une production PMC Productions

"Une belle réussite qu'il ne faut surtout pas hésiter à aller voir !"

— La Marseillaise

Poèmes de Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, Hugo, Ferré, Niver...

Représentations


Durée : 1 h 10

Résumé

Un Homme, une Femme ; un poète, sa muse. Le poète, à la recherche de sa muse, opère un voyage initiatique, à travers les éléments, l’espace et le temps, Cette quête est jalonnée de poèmes et de chansons dans un kaléidoscope d’impressions visuelles et sonores qui vous enveloppe dans une sorte d’expérience hypnotique, et raconte en filigrane l’histoire d’une vie, de la vie de  sa création à sa fin. Les sentiments, doutes, amour, passions, exaltation, désespoir, qui tourmentent le poète forment la matière de sa création, sa source d’inspiration.

Accompagné par la danseuse russe Lina Langner et la "sand-artiste" Marina Sosnina , sur la musique originale de Sergio Gruz, Bruno Niver déclame, murmure, ou chante des poèmes de Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Hugo, Niver, Blok...

Extrait

Bande-annonce : Archivé: Danser Baudelaire
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Fragments de presse

C’est un mariage fou et d’une beauté intemporelle que ce spectacle, superbe alliance des mots et des gestes, union parfaite des signes et des sons. Poèmes, danses, calligraphies, tableaux, musique se répondent, s’accouplent, se rejoignent en une parfaite osmose qui emmène le spectateur sur des rivages inconnus où tout n’est que calme et volupté, plaisir des yeux et des oreilles. (...) On est envoûté, comme hypnotisé, ivre de tant de beautés rassemblées et on se sent en communion étroite avec Baudelaire, Rimbaud, Hugo, Verlaine, tous ces fous qui continuent des siècles après leur disparition d’éclairer le monde de leurs visions oniriques.

— Nicole Bourbon, Reg'Arts.

Ce Baudelaire qui nous semble si souverainement familier, Niver nous propose ici de le redécouvrir avec des yeux neufs. Pour cela, il choisit en particulier de privilégier les sons par rapport aux mots; et l'instinct premier plutôt que la réflexion intellectuelle. (...) Cette parole de Baudelaire, emprisonnée dans le cadre strict du sonnet, ce spectacle choisit de la mettre en chair et de la rapprocher de la matière, des réalités de la vie les plus concrètes. La sulfureuse Jeanne Duval s'incarne ainsi dans le corps de la danseuse russe Lina Langner, qui, entre parenthèses, ne parle pas le français, et a élaboré sa danse en tenant simplement compte des sonorités de la langue baudelairienne. En tout cas, la volonté de faire un spectacle vivant, incarné, actuel se révèle clairement tangible (...)

— Matthias Turcaud, La Marseillaise.

Excellente introduction à la poésie, pour les scolaires, comme pour un public de tout âge, averti ou non. Les textes classiques et contemporains y sont dits, déclamés, et chantés, avec une clarté et une virtuosité rares, dans une dramaturgie placée sous le signe de l’éclectisme, de la nuance, et de l’alternance des genres (danse, vidéo, mode, calligraphie), qui laisse au spectateur le temps de respirer, d’aspirer les mots par les images, et s’adresse à tous ceux qui sont sensibles à la musique de la langue, à l’amour, et à la beauté.

— Ilya Stroganov, L'Observateur Russe.

Équipe artistique

Distribution : Bruno Niver - Lina Langner - Marina Sosnina

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