La Compagnie des contes urbains présente

Fleur de peau, conte urbain

De Sandie Masson

Mise en scène de Patrick Azam

Un texte magnifique tout en délicatesse. Le Parisien

Représentations

Théâtre des 3 soleils
4 rue Buffon - Plan d'accès

À partir du mercredi 7 juillet 2021 jusqu'au samedi 31 juillet 2021 tous les jours à 19 H 30
Relâche les lundis


Durée : 1 h 10

Résumé

Deux univers s’affrontent dans un face à face où chacun se débat avec un passé qui le submerge.

Lilas, tatoueuse nouvellement installée dans un quartier paisible, rencontre Adam, policier apprécié de tous, envoyé par les voisins inquiets…

Extrait

Bande-annonce : Fleur de peau, conte urbain
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Fragments de presse

Un conte urbain qui vous marquera dans la chair !

Le jeu des deux comédiens, Sandie Masson et Eric Savin, est tout en énergie, parfaitement maitrisée et chorégraphiée. Ils se reniflent, se jaugent et s'affrontent à coups de mots servis comme des uppercuts. Une rencontre difficile dans laquelle il n'est pas facile de conjuguer ses blessures. Ses bras couverts de dessins de nénuphars le révulsent - superbe travail de Marty tatoo. Le métier qu'il a choisi d'exercer n'est pas le bienvenu aux yeux de la tatoueuse. Mais dans le même temps, cette fille cabossée et cet homme s'attirent comme deux aimants aux polarités bouleversé.

France 3 Paris Ile de France.

Un bouquet de compliments pour « Fleur de peau !

Les comédiens (Sandie Masson et Eric Savin), bouleversants, nous emmènent aux confins de l'intime. Au fond défilent des projections lumineuses, d'une poésie rare, miroir du monde de Lila. Avec nous, et pourtant un peu ailleurs. Le texte est sans fausse note. On vibre, on frissonne quand il lui met un billet de 50 € dans la poche pour se « nettoyer après avoir fait l'amour ». On pleure aussi. On rit parfois. Une tendresse, réelle, dure, émane de chacune des scènes. Comme la vie, comme nous. Un spectacle tout en justesse et délicatesse. À fleur de peau.

— Marie Briand-Locu, Le Parisien.

Ce conte urbain, mis en scène par Patrick Azam, chorégraphié par Jean-Marc Hoolbecq, mis en lumière par Grégoire Pineau, a été construit comme un combat de boxe, chacun donne son coup, esquive celui de l’adversaire. Entre chaque round, les personnages se retranchent à un coin de la scène, se reposent, s’observent, se concentrent, puis se relancent à l’assaut. C’est un véritable corps à corps, un ballet. Lilas et Adam s’attirent et se repoussent comme deux aimants. Visuellement, c’est magnifique.

Ces deux personnages forts sont interprétés avec une belle délicatesse par Sandie Masson et Eric Savin. L’opposition de ces deux silhouettes, l’une gracile, l’autre terrienne, fonctionne parfaitement. Ils sont touchants, émouvant. On s’attache très vite à ces deux êtres qui ne demandent qu’à aimer et être aimé. On ressort le cœur léger, se disant que « tant que tournera le temps… Jusqu’au dernier printemps… Le ciel aura vingt ans. Les amoureux en auront tout autant ».

— Marie-Céline Nivière, L'Oeil d'Olivier.

Équipe artistique

Distribution : Sandie Masson - Eric Savin - Antoine Régent (en alternance)

Galerie

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